Viser l'autonomie alimentaire du territoire

L’autonomie alimentaire peut sembler utopique, mais est un objectif louable pour 2 raisons principales : augmenter notre résilience en cas de crise et limiter l’impact environnemental de notre alimentation liée aux transports.
De nombreux autres avantages peuvent être considérés : favoriser l’économie locale, favoriser l’emploi, amélioration de la biodiversité, protection contre les changements climatiques (canicules, crues…), etc…

Voici un certain nombre d’actions à mener selon moi pour tendre à cet objectif sont:

  • limiter la bétonisation du territoire en repensant le PLU
  • réorganiser la gestion des espaces verts en favorisant un maximum les plantations comestibles
  • planter partout là où c’est possible (toits végétalisés, places, cours d’écoles,…)
  • sensibiliser la population, former et inciter à la culture dans les espaces privés et partagés via des actions auprès des citoyens
  • impliquer les citoyens dans la gestion dans ces espaces de culture (écoles, associations, patients/hortithérapie…)
  • soutenir, promouvoir et aider à l’installation de paysans et maraichers sur le territoire.

Je suis d’accord avec cette proposition.
Le changement climatique et la raréfaction des ressources pétrolières (dont l’agriculture et le transport sont extrêmement dépendants) impliquent un risque de crise alimentaire.

Ce risque peut être (doit être?) géré au niveau local pour améliorer la résilience du territoire.

un ou plusieurs paysan(nes) , un(e) maraîchèr(e), un éleveur suivant la taille des communes ; une réalité à retrouver ; des aides à la formation et à l’installation, simplification des démarches administratives avec
conditions environnementales