La publicité pollue nos paysages, l’environnement et représente des consommations d’énergies non négligeables. Par ailleurs, il s’agit la plupart du temps de publicités commerciales ayant pour but d’inciter à la consommation. Ces messages sont donc contre-productifs face aux enjeux climatiques.
Il serait donc souhaitable de mettre fin :
- aux panneaux publicitaires numériques
- aux panneaux volumineux de plus de 50 x 70cm.
Un arrêt total des contrats de mobiliers urbains publicitaires serait à envisager avec un maintien uniquement des supports d’information pour l’intérêt général (associations, collecitvité, évènements culturels).
“En 2014, la ville de Grenoble a pris la décision de ne pas reconduire un contrat qui la liait à JC Decaux.
Auparavant, JC Decaux payait une redevance d’environ 600 000 € à la ville. Lors des premiers échanges pour la reconduction du contrat, ce montant était descendu à 150 000 € (baisse due notamment au développement de la pub sur internet, smartphone…). Cela représentait moins de 0,1 % du budget de la ville.
L’arrêt de ce contrat a eu comme conséquence de baisser le budget communication de la ville (qui représente 4 fois la perte du contrat publicitaire), mais cette dernière a compensé la perte en baissant de 25% l’indemnité des élu·es (300 000 € d’économies rendues possibles car l’équipe municipale précédente s’était octroyée une hausse d’indemnités) (Plein la vue, 2018).”
Qu’en est-il sur le Grand Belfort ?